jeudi 18 novembre 2010




Vous allez vraiment finir par croire que je vis au fond des bois...
pas tout a fait, mais presque.
Généralement je ne trouve que les restes, des crânes, des bois de chevreuils (que j'ai pris la facheuse habitude de ramener a la maison).
Ce jour là, ce beau mâle etait tranquillement couché dans les feuilles.
Autant vous dire que lorsque j'y suis retournée quelques jours plus tard, il avait moins fier allure.

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